20 avril 2021
L’équilibre travail-vie personnelle, les possibilités d’apprentissage continu et les récompenses et reconnaissances concurrentielles ne sont que quelques-unes des raisons pour lesquelles Denis Doiron, surveillant de technologues, Communications/navigation/surveillance (CNS), à Halifax, en Nouvelle-Écosse, aime son travail à NAV CANADA.
Ce diplômé en technologie du génie électronique avec spécialisation en télécommunications du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick, affirme, d’après son expérience, que la Société a toujours été prête à lui donner, ainsi qu’à ses collègues, autant de possibilités que ce qu’ils sont prêts à lui redonner. De nombreux cheminements de carrière uniques et intéressants ont découlé de cette ouverture.
Voici comment Denis sort de l’ordinaire.
Quel est votre rôle et depuis combien de temps travaillez-vous à NAV CANADA?
Je suis surveillant de technologues CNS et je travaille au Centre d’entretien de Halifax de NAV CANADA. Je suis un employé de la Société depuis août 2011.
Comment décrivez-vous ce que vous faites à votre famille et à vos amis?
Pour devenir surveillant de technologues, j’ai d’abord dû acquérir de l’expérience en tant que technologue (Tech-1). J’ai donc consacré les quatre premières années de ma carrière à l’entretien des systèmes de Communications/Navigation/Surveillance et de sûreté aéroportuaire (ACSTA). Les employés de niveau Tech-1 veillent à ce que les systèmes demeurent en ligne pour que les contrôleurs de la circulation aérienne puissent s’en servir pour assurer le débit sécuritaire et efficace de la circulation aérienne. Pour ce faire, on réalise un entretien préventif régulier des équipements et on certifie des paramètres critiques selon un programme établi.
Ensuite, j’ai travaillé trois ans comme coordonnateur des opérations techniques (TOC). Pendant cette période, j’étais chargé de coordonner les libérations pour les technologues sur le terrain avec les opérations du contrôle de la circulation aérienne. Quand un technologue a besoin de mettre un certain équipement hors ligne, on en coordonne la libération avec les contrôleurs qui s’en servent. Une fois que les contrôleurs ont accordé la libération, on doit publier un avis aux aviateurs (NOTAM) pour informer les pilotes, qui cherchent peut-être à utiliser le service.
En tant que TOC, j’étais aussi chargé de contrôler les systèmes de la région d’information de vol et de coordonner les interventions des technologues sur le terrain en cas de panne ou pour mettre à niveau des systèmes vieillissants.
Puis, c’est en février 2018 que je suis devenu surveillant au Centre d’entretien de Halifax. Je fais partie d’une équipe de technologues qui veille à l’entretien des systèmes CNS de la Nouvelle-Écosse. Nous entretenons l’équipement à cinq aéroports et à plus de 30 emplacements différents. Mes principales responsabilités en tant que surveillant sont d’établir l’horaire des travaux et de rendre des comptes sur le programme d’entretien et les activités CNS quotidiennes. À Halifax, mon équipe et moi assurons une couverture 24 heures sur 24 de tous les systèmes de NAV CANADA et de sûreté aéroportuaire.
Qu’est-ce qui vous a attiré chez NAV CANADA?
Au Collège communautaire du Nouveau-BrunswickOuvrir une nouvelle fenêtre , où j’ai décroché mon diplôme en technologie du génie électronique avec spécialisation en télécommunications, les instructeurs ne tarissent pas d’éloges envers NAV CANADA. Ils disent, par exemple, « si tu te trouves une place à NAV CANADA, c’est pour une carrière » ou encore « NAV CANADA est une entreprise très respectée à la grandeur du pays. »
À la fin du programme, les étudiants de dernière année réalisent et présentent un projet synthèse qui consiste à partir d’une idée puis à fabriquer un appareil électronique entièrement fonctionnel. Dans le cadre de ce projet, les étudiants doivent accompagner leur produit d’un manuel d’entretien et justifier ou expliquer leur choix de certains composants, le tracé des pistes sur les cartes en biphényle polychloré et la consommation d’électricité calculée, puis répondre aux questions qui viennent en tête des instructeurs (la partie que les étudiants appellent « l’interrogatoire »). Des représentants de NAV CANADA assistent à ces présentations chaque année et parlent de possibilités de carrière avec les étudiants en dernière année.
Dans ma tête d’étudiant, ces interactions et commentaires à propos de NAV CANADA ont peint le portrait clair d’une entreprise pour laquelle j’aurais pu vouloir travailler. Après mes études collégiales, je suis allé travailler pour les Forces canadiennes, où je suis resté 12 ans, mais certains aspects de ce parcours professionnel cadraient mal avec le mode de vie dans lequel je voulais fonder un jour une famille. Avec NAV CANADA, j’ai vu la possibilité d’avoir un bon salaire et de bons avantages sociaux, de même qu’un horaire me permettant de passer du temps avec ma famille. Je suis aujourd’hui marié, j’ai deux jeunes filles, et NAV CANADA continue de me prouver son engagement envers l’équilibre travail-vie personnelle de ses employés, soit la partie qui manquait à ma carrière militaire.
Qu’est-ce qui vous a le plus surpris dans le cadre de votre carrière?
Les possibilités. Par exemple, je n’aurais jamais cru faire l’objet d’un profil de carrière, et pourtant, me voilà, à vous raconter mon histoire. Au début de ma carrière à NAV CANADA, je pensais travailler à Halifax toute ma vie, mais des portes se sont ouvertes en cours de route et j’ai ainsi eu la chance de travailler à différents endroits au pays et d’évoluer sur le plan professionnel. D’après mon expérience, la Société soutient fermement ses employés qui veulent développer leurs aptitudes, et elle leur offre plein de ressources et d’aide en cours de route.
Quelle a été l’incidence de la pandémie de COVID-19 sur votre travail? Comment vous êtes-vous adaptés, votre équipe et vous?
Mon équipe et moi travaillons dans le domaine des technologies, alors il a été facile de nous adapter à la COVID-19. Nous avons utilisé différents types de dossiers partagés sur des bases de données centralisées pour avoir accès à certains documents. Nous sommes passés à Teams et aux conférences téléphoniques au lieu de tenir des tables rondes. La transition a été relativement harmonieuse. Les inconnus entourant le virus lui-même ont posé certains problèmes pour ce qui est de l’entretien de l’équipement aéroportuaire. Comme le reste du monde, nous nous fions aux experts et aux autorités gouvernementales, et nous apprenons à réduire notre risque d’exposition. Auparavant, mon équipe voyageait souvent pour le travail, alors nous tâchons maintenant ensemble de trouver de nouvelles façons prudentes pour tous de garder nos systèmes critiques en bon état de marche.
Qu’est-ce que vous aimez faire durant vos temps libres?
J’adore le golf, et à mesure que mes filles vieillissent, je trouve de plus en plus de temps pour jouer. Pour moi, une fin de semaine de golf est une excellente façon de faire le plein. Quand j’ai moins de temps, le simple fait de sortir ma guitare et de jouer mes pièces préférées pour une dizaine de minutes suffit pour me permettre de terminer la journée.
Ma femme et moi adorons voyager au Mexique, alors quand les grands-parents peuvent garder les filles, nous partons une semaine dans le sud pour relaxer et faire le plein.
Quelle est votre plus grande réalisation?
D’avoir obtenu mon diplôme en technologie du génie électronique avec spécialisation en télécommunications. Au tout premier jour en classe, un des instructeurs nous a dit que pour réussir, il nous fallait oublier tout ce que nous savions au sujet de ce qui nous entoure pour les deux prochaines années et nous concentrer sur nos études. Je trouvais qu’il exagérait, mais à ma surprise, ce n’était pas le cas. C’est un programme qui était très exigeant et qui a été l’un des plus gros défis auxquels j’ai fait face. Compte tenu d’où ça m’a mené, c’est, de loin, ma plus grande réalisation.
Qu’avez-vous appris sur vous-même au fil de votre carrière?
Tout n’est pas noir ou blanc. Il faut savoir être nuancé et voir les choses selon différents points de vue. Il n’est pas toujours facile d’explorer la « zone grise », mais ça m’incite à m’améliorer et à être un meilleur leader pour mon équipe.
Sortez de l’ordinaire est une série continue mettant en vedette des personnes qui mènent une carrière unique à NAV CANADA.
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